__________ 1735 – 1751 __________
En 1735 et 1751, on relève qu’il y a 7 cabestans aux Grandes Dalles.
__________ 1888 -1892 __________
On parle souvent des cabestans Yportais aux Grandes Dalles. En cas de tempête, ces marins avaient besoin de se replier et de compter sur le port Grandallais, qui a l’atout d’être à l’abri des vents d’ouest. C’est pour cela, que les marins et les armateurs d’Yport entretenaient à leur frais un cabestan aux Grandes-Dalles. (Archives Départementales de la Seine-Maritime : 4 SP 793)
Le premier cabestan cité dans le document ci-dessous a été installé le 15 juillet 1888, sur le domaine public maritime, ce qui voudrait dire, positionné sur l’estran.
En 1892, le cabestan est déplacé « au bout du chemin de grande communication n°79 » (c’est à dire au bout de la rue des péqueux). De ce fait, il ne fait plus parti du domaine public maritime, mais du domaine public communal. Ce cabestan est certainement le même que celui représenté sur la carte postale de 1905.
__________ 1903 __________
Ci dessous, une série de documents prouvant l’implication des marins Yportais. (provenant des recherches de Michel Darves facebook)
__________ 1905 __________
dans la rue
sur l’estran
__________ 1907 __________
cabestan de secours des Yportais avec sa cabane
__________ 1909__________
Le cabestan et sa cabane sont déplacés durant les travaux que le nouveau propriétaire des lieux, Monsieur Michelat, a engagé à l’hôtel et au niveau de la plage.
__________ 1910 __________
Après les travaux, photo et CP
__________ 1913 __________
__________ 1922 __________
En 1922 les marins d’Yport demandaient la suppression du rond-point de la plage des Grandes-Dalles pour le remplacer par un cabestan.
Peu après cette photo a été prise, et nous informe qu’il n’y a plus de rond-point, ni cabestan.
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Les treuils ont remplacé les cabestans.
__________ 1950 __________
__________ dans les années 1970-1980 __________
__________ 2018 __________
__________ 2019 __________
avant & après
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Le « Bout Menteux »
C’était l’emplacement du treuil, lieu ou les marins discutaient entre eux. Chaque port cauchois avait son « bout menteur ». Selon la localité il pouvait être prononcé différemment : principalement « bout menteux » mais aussi « bout mateu » à Yport. Le bout menteux le plus connu se situe à Fécamp sur le Grand Quai.
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